... prête-moi ta plume, pour écrire un mot :-)
Une petite suite à l'article précédent, le titre semblait d'ailleurs n'attendre que ça ! :-)
Vous êtes gentils comme tout, à vous battre pour essayer de me rassurer ! (ça fait vraiment plaisir hein, mille mercis) Mais voilà l'illustration parfaite de ce que je disais : je n'ai pas dû réussir à me faire comprendre puisque ça n'était pas le message principal de mon article ! :-) Et « avant », j'avais l'impression de toujours être comprise exactement, sans faire le moindre effort dans ce sens. Maintenant je réfléchis, et le résultat est incertain !
En fait c'est juste que quand je vais mal, ben j'écris mal. Je le sens en écrivant, et en me relisant, et quand je parlais des stats en baisse, c'était juste pour conforter cette idée, pas un pleurnichement (pleurnicher, moi ? Oui bon ok mais alors pas souvent). ;-)
Y a des gens, ils écrivent bien quand il vont mal, j'ai l'impression que c'est même très courant. Y a plein de grands auteurs qui se sont illustrés dans la déprime, le spleen, la haine... L'écriture comme un exutoire... Je connais des blogueurs caliméroïstes aussi ! :-)
Moi non, le malheur c'est pas du tout un moteur, c'est même plutôt un pneu crevé, je patine et finis en grosse bouse.
C'est comme ça hein, moi je suis faite pour écrire dans le peps, pas dans le noir (parce qu'on voit rien dans le noir t'façons.). Si ça pétille pas, ben mes mots ils sont plats, et c'est pas super à lire, les platitudes.
Mais je m'inquiète pas (« n'ayez pas peur »), cette plume qui pulse va vite revenir !
Je sais que mon expression est assez transparente, que ça soit par mail ou msn, il suffit en général de deux trois répliques pour que me dise « oula tu vas mieux toi ! »...
Alors puisque je vais vite remonter la pente (si, si, j'ai décidé) j'espère que vous aurez bientôt à me dire ça... ;-)
Vous êtes gentils comme tout, à vous battre pour essayer de me rassurer ! (ça fait vraiment plaisir hein, mille mercis) Mais voilà l'illustration parfaite de ce que je disais : je n'ai pas dû réussir à me faire comprendre puisque ça n'était pas le message principal de mon article ! :-) Et « avant », j'avais l'impression de toujours être comprise exactement, sans faire le moindre effort dans ce sens. Maintenant je réfléchis, et le résultat est incertain !
En fait c'est juste que quand je vais mal, ben j'écris mal. Je le sens en écrivant, et en me relisant, et quand je parlais des stats en baisse, c'était juste pour conforter cette idée, pas un pleurnichement (pleurnicher, moi ? Oui bon ok mais alors pas souvent). ;-)
Y a des gens, ils écrivent bien quand il vont mal, j'ai l'impression que c'est même très courant. Y a plein de grands auteurs qui se sont illustrés dans la déprime, le spleen, la haine... L'écriture comme un exutoire... Je connais des blogueurs caliméroïstes aussi ! :-)
Moi non, le malheur c'est pas du tout un moteur, c'est même plutôt un pneu crevé, je patine et finis en grosse bouse.
C'est comme ça hein, moi je suis faite pour écrire dans le peps, pas dans le noir (parce qu'on voit rien dans le noir t'façons.). Si ça pétille pas, ben mes mots ils sont plats, et c'est pas super à lire, les platitudes.
Mais je m'inquiète pas (« n'ayez pas peur »), cette plume qui pulse va vite revenir !
Je sais que mon expression est assez transparente, que ça soit par mail ou msn, il suffit en général de deux trois répliques pour que me dise « oula tu vas mieux toi ! »...
Alors puisque je vais vite remonter la pente (si, si, j'ai décidé) j'espère que vous aurez bientôt à me dire ça... ;-)